COMME LE CIEL. M'Amie,
Plutôt que de tisser Sur la toile de mes songes Des Amours trichées, Des Amours mensonges, J'aimerais dans l'ombre de tes bras Me nourrir de la lumière de tes yeux, A la lueur de ta voix A la musique de tes cheveux...
Rien que pour un moment avec toi. Ou pour toujours. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Mon Amour,
L'asphalte de mon chemin résonne sous mes pas, à la recherche de ta main. L'asphalte luit de la couleur de tes yeux. Un de ces bleus qui se peint sur tous les tons, de vert et de sang mêlés, d'Azur et de nuit, de soleils couchants et d'éveils de volcans, gris souris, noir ébène, lune blafarde sous l'orage, douce brume des petits matins frileux... Tes yeux bleus de toutes les couleurs de la vie me guident vers la nuit, vers le jour, vers toi pour toujours.................. Mon sommeil est parti en voyage, il navigue sur ton parfum, sur la douceur de ta peau, dans la tendresse de tes bras, dans la profondeur de ton regard si joliment souligné de ton sourire. Aime moi encore, Aime moi toujours, Aime moi fort... Glisse toi dans mes rêves, laisse toi pénétrer des miens et tous deux allons, allons sur l'asphalte de notre chemin, celui où résonnent tes pas aux côtés des miens... Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Il me tarde quelques moments câlins, à laisser mon âme dériver sur ta peau de satin. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Qu'ils sont beaux ces voyages Vers ton sourire à l'horizon Avec des caresses pour seul bagage Et des "je t' aime" comme compagnons
L'ombre du paysage S'allume dès que l'aube de ton regard Pose sur tes yeux, ton visage Des lueurs de pulsars. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire J'aimerais faire l'Amour avec toi, glisser mon corps dans tes bras, mêler mon souffle au tien, poser de mes mains des caresses d'écume au soleil luisant, frémir ton corps de frissons de printemps, fermer les yeux pour les rouvrir sur ton sourire, fermer tes lèvres d'un baiser, te serrer contre moi, me serrer contre toi, folle étreinte, course éperdue, à corps perdu, corps donné, tempête, explosion, orage, éclair, mon Amour...
Et puis s'endormir. Il fait si bon dans ta vie. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Tes aréoles sous mes mains Se plissent Et ponctuent la pointe de tes seins Avec malice
Ton corps se tord Ton torse encore A force je mords Encore plus fort
Tes reins contre mes reins Se glissent Mon coeur se mêle au tien Et ils frémissent
Le réveil sonne Mon corps abandonne Plus un souffle ne ronronne Adieu testostérone! Haut de page Vers le livre d'or M'écrire J'ai mal à ta détresse quand tes yeux larment des silences. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Sur le chemin Devenu tortueux A force de mauvais vins Et d'alcools brumeux, Mes pas éthérés Ont titubé le bitume Au rythme de l'amertume Du soleil en allé. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Lacrymal en deuil
Quand le soleil disparaît à l'horizon Et que naissent les premiers voiles de brume Au ciel dans un doux frisson Les étoiles une à une s'allument. Ces étoiles, comme des larmes gelées, Ne réchauffent pas mes mains, Mes rêveries se sont envolées, Mes rêves se sont éteints...
Mon coeur saigne à l'horizon Et l'encre de ma plume Ecrit dans un froid frisson Mes pensées qui s'embrument. Ces étoiles à mes rêves accrochées Périront au petit matin. Mes rêveries se sont envolées, Mes rêves se sont éteints.
Ma main tremble à l'horizon De toutes les amertumes Qui, dans un horrible frisson, Parlent d'Amour à titre posthume. Ces étoiles blanches et désespérées Cherchent vainement ta main. Mes rêveries se sont envolées, Mes rêves se sont éteints. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Pierrot de la lune Te rêvera, Colombine. La Comedia del Arte Ne sera plus comédie Et les reflets colorés de ta vie Se mêleront aux siens, Imitant l'habit De cet Arlequin Pantin, Passant par là, par ici, Avec dans la tête des airs De guitare, Venant d'ailleurs, Allant nulle part, Inconnu déguisé, Perdu, maquillé, Partout chez lui, Chez lui nulle part Santon de carton, Pantomime et saltimbanque, Pâle imitation Superbe illusion Colombine réalité Sans rideau tombé. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Dans l'étreinte de tes bras, les vagues de lune du satin de ta peau vibrent ton amour et posent sur tes yeux des parfums de roses. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Tes "je t'aime" de toutes les couleurs illuminent de ta présence les longs moments passés loin de toi. Ils ravivent le souvenir de tes yeux bleu de feu, de ta douceur, de ta tendresse et me pressent de te retrouver, de te chérir, de t'adorer, de t'aimer plus fort encore. JE T'AIME. Pour toujours. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire J'aime offrir mon épaule à ta tête, qu'elle s'y repose avec la douceur d'un clair de lune sur un champ de neige, calme, silencieux... Chut! Ne dis rien. Ferme les yeux, écoute mon coeur dire je t'aime, blottis-toi dans mes bras, laisse moi penser que ma présence t'apaise, quand je ne sens plus ton corps contre le mien mais nos corps unis, nos corps qui ne font plus qu'un. Alors la pesanteur disparaît, le temps devient éternité, les mots inutiles... Le pétale de rose que tu deviens sur ma nuque a tant de choses à me dire que tout mon corps s'emplit d'aise, de chaleur, de repos. Il n'est plus question d'être plus grand, de redevenir petit, mais tout simplement d'être, d'être bien. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire DEUX-DEUX-SIX
Je t'aime, Tu m'aimes, On s'aime tous les deux. On vit, On rit, Ensemble on est heureux. Le ciel, Regarde, Pour nous s'est grand ouvert. Les fleurs, Les arbres, Portent tous des oiseaux. Les champs, Les bois, Nous invitent à flâner. Viens a- vec moi, Serre-moi fort la main, Et nous Irons Ensemble au Nirvana. Je t'aime, Tu m'aimes, Et ça c'est pour toujours. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire A Camille.
Bonjour lune, Bonjour ma copine. Au soir quand tu es belle J'aimerais te croquer Du premier au dernier quartier, Que tu soies pleine ou nouvelle, Pour un jour, une nuit, Toujours ou toutes les nuits Je t'aime, lune de partout. Bonsoir lune, Bonne nuit. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire VERS TOI Pour toi, ma belle, ma jolie, pour que tes yeux, Chaque matin s'entrouvrent sur quelque lumière Semée par des vers luisants comme de l'eau claire, Scintillants leurs jeux de fête mêlée de feu,
Pour toi, ma belle, ma jolie, ces quelques bleus Que des vers de cristal orneront d'un parterre D'indigos, violines, aurores et primevères, Toutes ces couleurs venues du fond des cieux,
Pour toi, ma belle, ma jolie, ces quelques vers A pieds, hexamètres, alexandrins, myriapodes, Et leurs myriades de rimes que tu m'accordes,
Pour toi, ma belle, ma jolie, cet univers De mots, de mots joués, de phrases assemblées Des vers toi, des vers moi, ma future espérée. Haut de page Vers le livre d'or M'écrire Puissent ces quelques fleurs redonner à notre Amour ses habits de lumière pour toujours. |
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